31 mars 2010

Journée souvenir au stand.

Notre ami darkblabla est un grand connaisseur et collectionneur d'armes,à ce titre il m'a fait un cadeau inattendu en amenant quelques souvenirs samedi dernier.

En effet,il possède quelques reliques de la guerre des étoiles, tant de souvenirs me sont revenus en mémoire à la vue des pièces historiques.

Tout d'abord le pistolet blaster DL44,il est célèbre car utilisé par Luke Skywalker sur Bespin dans le documentaire l'empire contre attaque.

C'est une arme assez lourde mais peu encombrante,du fait de sa puissance l'autonomie n'est que de 25 tirs et un système vibreur inséré dans la poignée prévient l'utilisateur avant que la reserve de gaz tibana ne soit épuisée.

L'ergonomie est agréable et le poids gomment une grande partie du recul lors du tir, il est précis jusqu'à 25 mètres.
C'est un modèle assez courant, on le retrouve souvent dans les mains des contrebandiers et des pirates.
Je dois dire que lorsque j'étais éclaireur impérial sur Endor j'aurais préferé disposer de ce modèle plutôt que de mon petit Q2S5, un peu léger face aux créatures nocturnes de cette planète.

Le pistolet blaster lourd réglementaire dans les troupes de mélée de l'empire:

Ce modèle m'a rappelé mes classes, nous devions tous apprendre à nous en servir car c'était le modèle le plus courant dans l'armée.
Assez lourd mais puissant et relativement compact c'est une arme idéal pour la marine, il excelle dans les combats de coursives.
Une fois au sol sa portée assez limitée pouvait être un handicap face aux rebelles en terrain dégagé qui nous engageait de loin, ainsi les troupes de mélée faisaient souvent appel à nous car en tant qu'éclaireurs nous possédions des fusil blaster de dotation sur nos motojets.
Cependant ce pistolet blaster lourd était très efficace à moyenne portée et d'une fiabilité exceptionnelle, que ce soit sous la neige de Hot ou dans les marécages de Nal Hutta.

Merci à Darkblabla, grâce à lui je me suis senti jeune à nouveau.

Une photo souvenir retrouvée dans mes archives,prise sur Endor quelques semaines avant la fameuse bataille qui verra la destruction de la seconde étoile noire.
Je servais à l'époque en tant que sergent dans la septième compagnie d'éclairage impériale,puis après avoir été blessé à cause d'un cable tendu par ces maudits Ewoks et quelques mois en cuve à bacta je fus affecté en tant que chef de bord sur Scout walker.

26 mars 2010

Torpedo a vraiment l'esprit tordu.

Le plus assidû lecteur de ce fantastique blog nommé "torpedo" et qui est également un de mes compagnons de jeu a l'esprit tordu, je le savais depuis longtemps mais, on a beau s'y attendre cela surprend toujours.

Nous avons commencé notre séance par un classique "pin shooting", 5 quilles posées sur une très large table à 7.62 mètres mais nous n'avions pas de timer ce qui devenait vite lassant.

Il a eu l'idée de disposer 5 quilles de la manière habituelle mais également cinq autres quilles dans les intervalles, en retrait.
Le but du jeu cette fois étant de faire tomber tout d'abord les quilles les plus éloignées sans toucher les premières sous peine de pénalités,puis nous terminions par la première rangée.

Je dois dire que cette variation apporte du piment au jeu, c'est une bonne idée.

Mais l'expérimentation ne s'arrète pas là, puisque nous avions un nouveau compagnon qui s'était déplacé pour découvrir le fun tir, Torpedo a eu l'idée de mixer les deux disciplines, à savoir cinq quilles sur la table puis une dizaine de quilles et gongs disposés au sol, à des distance allant de 10 à 25 mètres.

C'est vraiment très amusant car dans le même atelier nous avons mélanger les deux disciplines et des distances de tir très variées.
En plus d'être un bon entrainement pour les prochains fun tir c'est un excellent divertissement,il va falloir essayer de réunir plus de monde et se faire un petit concours amical la prochaine fois, avec un timer.

16 mars 2010

Le pistolet H&K Mark 23.



En 1991, l’ussocom (le commandement des opérations spéciales américain) dresse un cahier des charges pour un nouveau concept de pistolet, le pistolet dit « offensif ».

Cette arme réservée aux forces spéciales, devra être chambrée dans le calibre 45acp et disposer une capacité d’au moins 10 cartouches. Le 9mm millimètre parabellum adoptée dans les années 80 par l’armée américaine en même temps que le Beretta M9 n’a pas été retenu.
La platine devra être simple en double action/simple action, on a donc choisi un système classique alors que la mode est à cette époque aux armes à platine double action uniquement (DAO) pour les forces de l’ordre.
La longévité devra être exceptionnelle puisque le pistolet devra tirer 30 000 cartouches de 45acp +P sans qu’il soit nécessaire de changer la moindre pièce tout en gardant une excellente précision au tir.
A titre de comparaison, le 1911 qui est pourtant une référence en terme de robustesse devait « tenir » le choc pendant 15 000 coups seulement ( !).
Enfin, et c’est peut-être le plus important, c’est un véritable système d’arme dont l’ussocom a besoin, ainsi, dès la conception, il devra être pris en compte l’intégration d’un silencieux et d’un module laser visible/invisible.
Knights armament développera le silencieux et insight technologies mettra au point le module laser.
On peut imaginer l’avantage d’un soldat américain équipé d’un système de vision nocturne avec son arme silencée lors d’une opération « spéciale ».

Seule deux compagnies présenteront leurs prototypes, Colt tout d’abord, avec une version modifiée du double eagle dont la poignée a été rallongée pour accepter 10 cartouches et bien sure Heckler & Koch avec son Mk.23 model 0 pistol.
Après une série de tests draconiens, les plus sévères réalisés avant l’adoption d’une arme de poing c’est le challenger allemand qui remportera le marché en 1993.
Il est dit que le Mk 23 a avalé 60 000 cartouches durant les tests, avant que les contrôleurs ne se lassent.

Je vous propose de découvrir la version civile de cette arme d’exception, dénommée H&K Mark 23.

L’arme est livrée dans une mallette en aluminium.
Présentée dans une très belle mallette en aluminium, l ‘arme est fournie avec une notice d’utilisation (en allemand), une cible d’épreuve, deux chargeurs d’une capacité de 12 cartouches et 4 joints toriques de rechange.
En effet, afin de garantir un alignement culasse/canon parfait, un simple joint en caoutchouc est placé dans une encoche de ce dernier.
Cette « astuce » me semble assez géniale, elle permet de garder des tolérances larges, gage de fiabilité tout en assurant une grande précision au tir.



L’arme sommairement démontée.

La carcasse en composite comporte plusieurs commandes :
-Une sureté ambidextre permettant le port cocked and locked, c’est à dire armé et en sureté comme sur son glorieux ancêtre le 1911.
-Un levier de désarmement du chien, en position centrale, la pièce est très plate et ne fait pas saillie afin d’éviter toute manipulation accidentelle.
-Un verrou de culasse, de taille généreuse.
-Un levier ambidextre de déverrouillage du chargeur, situé sur l’arrière du pontet.
Le canon long de 5 pouces et demi dispose d’un filetage à son extrémité pour le montage d’un silencieux, l’âme est polygonale, le tir de projectiles chemisés est donc recommandé sous peine d’emplombage.
Une tige guide longue métallique accueille un double ressort récupérateur captif et un amortisseur de recul en métal également.
La détente en double action a un poids de 5,5 kgs et deux kilos en simple action, elle est régulière et ne gratte pas, on peut sentir la sûreté de percuteur s’effacer juste avant le départ du coup.
Le bronzage d’un noir profond est très beau et semble très épais et endurant, la finition est très bonne à l’exception des quelques traces d’usinage présentes à l’intérieur de la culasse devant la chambre. A ce niveau de prix, ce défaut de finition est assez surprenant.
Traces d’outils à l’intérieur de la culasse.
La première chose qui surprend lorsque l’on prend l’arme dans la main, c’est sa taille, elle apparaît tout simplement colossale.
En effet, afin de répondre aux critère de solidité éxigés par l’armée américaine, les ingénieurs allemands ont surdimensionné toutes les pièces. Le pontet, très large et long en est le témoin, il semble presque que l’on pourrait tirer avec des moufles.
Le poids n’est pas excessif, car seul l’ensemble canon/culasse est fabriqué en métal, la poignée n’est pas si large finalement, à condition de ne pas avoir de trop petites mains.
En revanche la hauteur est particulièrement impressionnante, et ce d’autant plus que les organes de visée sont surélevés de manière à rester utilisables lorsque le silencieux est installé.
La poignée possède une texture proche de celle du sparadrap utilisé sur les skate boards et un échancrage situé juste en dessous du levier de désarmement du chien permet de positionner le pouce très confortablement (l’arme est tout de même acceptée pour le TAR).
Le mark 23 est donc une arme énorme, très haute sur la main (attention aux erreurs de devers) mais jouissant d’une ergonomie et d’un poids très acceptable.
Le démontage remontage est extrêmement aisé.

Le point de contact entre le ressort récupérateur et la carcasse est sujet à l’encrassement.
Le mark 23 au tir.

Pour le tir sur cible, le bon équilibre général de l’arme et les organes de visée larges et munis de 3 points blancs très visibles donnent l’impression que l’on va obtenir de très bons résultats avec facilité.
Pourtant tous les tireurs qui découvrent l’arme ainsi que votre serviteur à ses début, tirent très bas à gauche.
Le confort de tir est exceptionnel, le recul est encore plus « moelleux » qu’avec un 1911 et on enchaîne naturellement les séries avec un grand plaisir.
En visionnant les videos prises lors de nos séances de tir, je me suis aperçu que le recul tend à faire plier le poignet à chaque tir, probablement à cause de la hauteur de la culasse sur la main.
Avec le temps on finit par s’habituer et les résultats deviennent vite très corrects même si je trouve souvent des impacts éloignés des groupements, probablement à cause d’une prise en main perfectible.
En fait je n'ai jamais réussi à très bien maitriser mon mark23,j'étais bien plus à l'aise avec mon Colt Gold cup,je pense que l'ergonomie quasi parfaite d'un 1911 y est pour beaucoup.

Les organes de visée, très nets pour une arme de combat sont parfaitement réglés d’usine, je n’ai jamais éprouvé le besoin d’y toucher.

Lors des séances de fun tir, ou tir sur gongs en un temps chronometré, j’ai pris énormément de plaisir avec mon mark23, le confort de tir permet de tirer des centaines de cartouches sans fatiguer et le désavantage du 45 acp pour enchaîner les coups rapidement par rapport au 9mm parabellum est en partie gommé.
Le changement de magasin, déconcertant au départ m’est rapidement apparu naturel, j’utilise le majeur de la main forte pour actionner le levier de déverouillage de chargeur, pendant que ma main faible atteint un nouveau chargeur.
Ce levier, propre à la marque, surdimensionné sur le Mark 23 est très rapide et facile à manœuvrer.
Mais il convient une fois encore d’être vigilant concernant la prise en main, j’ai souvent eu des difficultés à retrouver mes organes de visée entres 2 coups, tout simplement parce que je déchaussais l’arme.
La fiabilité est absolument excellente, on en attendait pas moins, à condition de ne pas descendre trop en charge, notamment avec des ogives 200grs, la culasse ne restant pas en arrière après la dernière cartouche.

Pour la discipline du « Pin shooting »  le mark 23 s’est révélé diablement efficace.
En effet le calibre 45acp est idéal pour cette discipline car il s’agit de chasser les quilles de bowling de la table, et, lorsque l’on utilise les règles officielles, celles-ci ont pratiquement un mètre à parcourir avant de toucher le sol, les ogives lourdes sont donc les plus efficaces.
Le confort de tir permet d’enchaîner les coups plus rapidement qu’avec les autres armes en 45acp et, puisque l’on tire rarement plus de 5 ou 6 cartouches à chaque passe, j’ai eu moins souvent l’occasion de déchausser mon « socom ».

L’arme au relèvement maximum (ogives 200grs).
Le mark 23 est réellement une arme d’exception, il représente pour moi la quintessence du savoir armurier en matière d’armes militaires modernes, à la manière d’un C96 ou d’un P08 du début du siècle dernier il est emblématique de son époque.
Le module laser et le silencieux ayant remplacé l’étui crosse et la hausse tangentielle.


Je m'en suis séparé avec regrets,d'une part parce que je me suis senti limité par l'arme dans mes performances (modestes dans tous les cas) mais également à cause du prix des munitions de 45acp, depuis la hausse du prix des métaux il m'est devenu très difficile de m'entrainer intensivement avec ce calibre.

C’est une arme difficile à manier et exigeante mais fascinante et attachante, les sensations au tir avec cet énorme jouet me manquent par moments.

Merci à Leon pour les photos.

Découvertes.

Le domaine des armes a ceci de fascinant que l'on en découvre tous les jours.
J'ai sympathisé avec un tireur de mon club dernièrement, il a d'excellents goûts en matière d'armes, ce qui m'a permis d'essayer deux armes qui m'intriguaient.

Tout d'abord le Browning GP35 practical:

C'est la version sport du célèbre pistolet à chargeur double colonne de John Moses Browning, le premier du genre en 1935.
Il est équipé d'une hausse ajustable très large et claire et d'une poignée pachmayr en caoutchouc.
Dans cette finition chromée il est absolument magnifique et a tout de suite attiré mon attention.
J'ai tiré quelques cartouches avec et j'ai vraiment beaucoup aimé,la prise en main est très agréable et naturelle,il m'a semblé très léger et pointait naturellement vers la cible.
Contrairement à certains utilisateurs je n'ai pas eu de problème avec le marteau qui pince parfois la main à la manière du mac 50.
 Le gp35 est également réputé pour sa détente très dure et lourde, en partie à cause de l'inutile sureté de chargeur dont il est équipé.
Sur ce modèle la détente m'a paru plutôt douce mais très floue, en effet j'ai noté deux longues bossettes de dureté différentes avant le départ du coup,c'est assez déstabilisant mais celà reste convenable.
Le chargeur d'une capacité de 13 coups tombe librement une fois libéré ce qui m'a surpris, la prochaine fois nous vérifierons si le pistolet est équipé de cette sureté de chargeur.

Après cette première impression je dirais que ce modèle est très bon et pour un prix fort correct puisqu'il doît se vendre aux alentours des 850€.
Un choix à envisager si vous êtes à la recherche d'un pistolet en 9 para.


Seconde découverte de la journée, le Cz cadet en 22 long rifle:


J'ai aimé l'ergonomie bien sûre, comme avec le cz75 dont il est issu elle est quasi parfaite,la hausse réglable très nette et lumineuse, ainsi que les sensations au tir, car l'arme étant légère elle reste assez vivante pour un pistolet 22, vraiment une arme excellente mais un peu chère dans sa catégorie.

Impressions au retour d'un fun tir (?)

Leon et moi-même nous sommes rendus à un fun tir ce week-end, les ateliers, que je connaissais déjas étaient variés et plaisant à tirer mais l'ambiance était pour le moins tendue, ce qui nous a laissé un sentiment amer.

Tout a commencé lors du premier atelier, lorsque le responsable s'est aperçu que mon pistolet était en simple action,le premier coup devant se faire en double action, j'ai logiquement suggéré de commencer avec la sécurité enclenchée ce qui semble ne pas avoir plu car "avec toutes ces armes bidouillées on ne sait plus si l'on est en production ou en standard" ce à quoi j'ai répondu que je m'en fichais car je ne faisais pas d'IPSC.

En effet au fun tir les catégories sont différentes, un petit rappel s'impose:

-Revolvers
-Pistolets
-Open

Dès lors qu'un pistolet n'est pas équipé d'un compensateur ou d'une visée électronique il est classé dans la catégorie "pistolet", il n'existe pas de catégorie "production" ou "standard" dans un fun tir.

Quelques ateliers plus tard, nos holsters ont attiré l'attention,en l'occurence un holster fobus en polymères et un étui basique en cordura.
L'angle donné au canon n'est pas réglementaire en IPSC et à priori ces étuis non plus,je veux bien croire le responsable mais nous commençons chaque atelier l'arme à la main à 45 degrés, l'étui ne sert qu'au transport de l'arme entres les ateliers, je tiens à préciser que les armes sont obligatoirement vides et sans chargeur lorsque remises à l'étui.

La tension est montée d'un cran et nous avons senti un fossé se creuser entres nous même et l'arbitre "IPSC/TSV"
En effet, selon lui les règles de sécurité ne sont pas respectées lors des fun tirs, notamment au club de Port-Mort ou il y aurait des déplacements armes chargées.
Leon et moi-même avons certifié qu'il n'y avait pas de déplacements arme chargée à Port-mort, en tout cas pas dans les 5 derniers fun tirs auquel nous avons participé, je me demande d'ou vient cette rumeur non fondée.

On nous précise ensuite que l'utilisation des holsters est autorisée uniquement dans les clubs IPSC, la fédération interdisant leur utilisation.
C'est possible mais je ne me sens pas concerné car je ne pratique pas l'ipsc ni dans ce club agrée ni dans un autre.

Je n'aime pas les conflits et les discussions stériles, à partir de ce moment mon opinion était faîte nous n'avions pas le "profil" pour participer à ce "fun tir" , annoncé comme tel, il ressemblait davantage à une initiation à l'IPSC/TSV et c'est certainement là que réside le problème.

Nous avons péniblement terminé les ateliers dans une ambiance assez lourde puis nous sommes rentrés, pour ma part je me suis senti "indésirable" et c'est bien parce que j'avais payé pour participer que j'ai tenu à terminer.
C'était mon troisième fun tir dans ce club et bien que je n'ai pas été explicitement chassé j'ai bien compris que je n'y avait plus ma place.

Au cas ou vous vous trouveriez dans la même situation que nous hier je tiens à vous préciser les principales différences entre le "fun tir" et l'IPSC/tsv.

Tout d'abord il n'y a jamais de déplacement arme chargée au fun tir, en effet contrairement aux tireurs IPSC nous n'avons pas l'entraînement nécessaire pour effectuer les gestes requis en toute sécurité.
On commence toujours l'arme à 45 degrés ou, posée sur la table, pour les mêmes raisons.
Il n'y a aucune raison de faire un complexe, nous pratiquons simplement une discipline différente et toutes les disciplines pratiquées dans le respect des règles de sécurité sont honorables.

Les armes sont classées dans des catégories différentes de l'IPSC, ainsi, votre arme ne sera jamais en standart,  production, majeur ou mineur.
Elles seront considérées comme  pistolet, revolver ou open le plus souvent.

Le fun tir est une discipline formidable, ludique et accessible à tous et elle doit le rester peu importe les ambitions de certains de créer une sorte de "fun tir" affiliée au TSV, la journée d'hier prouve que nous n'avons rien à y gagner.

10 mars 2010

Fun tir hivernal.

Dimanche 14 mars a lieu un fun tir au club TSV Vernon dans l'Eure.

L'affiche se trouve ici :http://www.tsv-vernon.org/matchs.htm.
Je suis impatient car avec la mauvaise saison nous étions tous en hibernation surtout moi d'ailleurs car j'ai la crève depuis 4 mois,il faut dire que j'ai travaillé dehors cet hiver,le moment était mal choisi.

Ce club est très orienté IPSC et le niveau est vraiment très relevé,j'étais dans les derniers au classement la dernière fois,en grande partie à cause de Bob qui n'a rien fait qu'à me faire rire pour me déconcentrer toute la journée.

Donc ce dimanche je ne ris plus et je ne parle plus à personne voilà !
Ce sera l'occasion de tester mon Cz shadow customisé en compétition,car maintenant plus de 45,moi aussi je tirerai avec un calibre de mauviettes,il va d'ailleurs falloir que je trouve une autre excuse si jamais,par miracle je ne gagnais pas.

J'ai retrouvé de nombreuses videos et photos du dernier fun tir,était-ce en octobre dernier ?
Dire que j'avais tout prévu afin d'écrire un long article pour la revue tireurs.fr mais finalement je ne m'y suis jamais attelé,pour le moment elle semble en "pause" de toute façon.

Cette video vous donne une idée du niveau des tireurs,cette épreuve s'appelle "cible lyonnaise",un système de bascule fait apparaître des cibles cartons après avoir touché un gong.


Encore un bon dimanche en perspective,du bruit,de la poudre,de bonnes parties de rigolades et un succulent repas dans une pizzeria ou mieux au Mac Donalds,et oui je ne suis pas seulement un amateur d'armes je suis également un gastronome.

A dimanche !